Archive pour juin 2008

A pu annales

Samedi 21 juin 2008

Jeune acquéreur, méfie-toi des retards dans tes commandes !

Notamment pour les annales de l’ECN, ces publications annuelles qui ont l’air de vivre ce que vivent les roses : si tu tardes un mois de trop pour les commander, tu vas te retrouver confronté à la rupture de stock. Et les annales de l’année, on n’est pas sûr du tout d’en voir apparaître un deuxième tirage !

Note pour plus tard : ne jamais trop tarder pour les commandes, surtout pour l’ECN !

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Encore plus d’étudiants !

Mercredi 18 juin 2008

Lu dans le Canard enchaîné de cette semaine :

Notre président aurait envisagé, le 11 juin dernier, devant des sénateurs, de supprimer le numerus clausus à la fin de la première année de médecine. Ce qui signifie beaucoup plus d’étudiants en deuxième, puis en troisième, puis en quatrième année, et ainsi de suite…

C’est peut-être une bonne nouvelle pour les étudiants, mais pour les bibliothèques ? Ca veut dire encore plus de public, dans des espaces déjà surchargés pour certains, et qui ne sont guère extensibles… Il y a déjà des étudiants qui bossent dans le couloir devant la bib, faute de place en salle. S’ils sont trois ou quatre fois plus nombreux, pourra-t-on encore passer dans le couloir ?

À suivre…

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Paramédicales, soleil des BU (Je t’aime, moi non plus)

Samedi 14 juin 2008

Les paramédicaux sont souvent des paramédicales. Car il faut bien le dire, les hommes ne se bousculent pas dans les formations d’orthophonie ou de psychomotricité.

Je me souviens, la larme à l’œil, de ma première formation. Par un petit (lundi) matin blême, il s’agissait de présenter les ressources de nos bibliothèques à la nouvelle promotion de psychomotriciens. Lesquels se sont révélés être, pour la plupart, des psychomotriciennes. Les quelques mâles de la meute s’étaient regroupés par grappe de 2 ou 3, dans un coin de la salle, près des fenêtres, peut-être pour pouvoir se sauver plus vite en cas de réaction anti-masculine inopinée de la part de leurs camarades. C’était tout mignon, et l’on ignorait s’il fallait plaindre ces quelques esseulés, perdus dans cette société matriarcale, ou les envier, à passer 2 ou 3 ans d’études en si bonne compagnie.

De retour à la bibliothèque, et à la faculté de manière plus générale, on s’aperçoit au contraire que les paramédicaux ne sont pas toujours à la fête. Toute l’attention se focalise sur les D4, sur qui repose l’honneur de l’université : ils se doivent de briller au concours de l’Internat face aux carabins concurrents de France et de Navarre. Les paramédicaux se contentent, eux, de la portion congrue : salles de formation éparpillées aux quatre coins des campus, rayons maigrichons dans les bibliothèques…

Et les étudiants de médecine ne semblent pas toujours voir d’un bon œil ce « para-public », qui vient lui piquer des places de lecture déjà chères. Les bouquins et mémoires paramédicaux représentent autant de mètres linéaires qui ne sont plus dévolus aux ouvrages de médecine pure. Sans parler des tests, que les psychomotriciens s’évertuent à tester (c’est le cas de le dire) au milieu des autres lecteurs, avec force lancers de balles en caoutchouc et exercices d’équilibre divers et variés.

Et pourtant… Pourtant, il y a un moment de l’année où les étudiants de médecine regrettent ces « para-sites » (jeu de mot facile). C’est quand elles ont fini leurs examens. Quelle ne fut pas ma surprise, ces jours derniers, d’entendre plusieurs étudiants se lamenter sur la subite disparition des paramédicales, envahisseuses certes, mais accortes tout de même, qu’ils prenaient apparemment plaisir à regarder passer du coin de l’œil, en faisant mine de plancher sur un bouquin d’anatomie. C’est vrai, il y a des choses qu’on n’apprend pas dans les livres

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Facbooks, pas Facebook

Mardi 10 juin 2008

De la pub pour une initiative sympa, repérée via la newletter d’Educpros :

FacBooks (qui n’a rien à voir avec FaceBook, le machin qui aspire votre âme et votre vie privée) est un site non commercial, monté par des étudiants en informatique, et qui se propose d’être une foire aux livres universitaires.

Les annonces, gratuites, sont publiées pour 30 jours (renouvelables), et l’on peut vendre, acheter ou échanger ses bouquins de fac. Utile, surtout en médecine (il y a une rubrique dédiée), où les ouvrages ont tendance à coûter les yeux de la tête (et à ne pas être en suffisamment grand nombre dans les bibliothèques, je sais !).

Pour le moment, ils n’ont pas encore beaucoup de choix, mais il faut bien commencer !  En espérant qu’ils trouveront leur place au milieu des sites commerciaux…

Live long and prosper ! 

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