Lu dans le Canard enchaîné de cette semaine :
Notre président aurait envisagé, le 11 juin dernier, devant des sénateurs, de supprimer le numerus clausus à la fin de la première année de médecine. Ce qui signifie beaucoup plus d’étudiants en deuxième, puis en troisième, puis en quatrième année, et ainsi de suite…
C’est peut-être une bonne nouvelle pour les étudiants, mais pour les bibliothèques ? Ca veut dire encore plus de public, dans des espaces déjà surchargés pour certains, et qui ne sont guère extensibles… Il y a déjà des étudiants qui bossent dans le couloir devant la bib, faute de place en salle. S’ils sont trois ou quatre fois plus nombreux, pourra-t-on encore passer dans le couloir ?
À suivre…